Nous
sommes le 2 novembre 1918, pendant la Première Guerre mondiale qui fait
rage depuis 4 ans. François, lui, est un jeune soldat français, qui
était obligé de quitter sa famille pour aller combattre les armées
allemandes. Heureusement, il avait son ami Robert, qui lui, a aussi
quitté sa famille pour aller faire la guerre.
François
et Robert avaient très mal dormi cette nuit là. Mais ils devaient
se préparer, prendre leur fusil et se mettre en position d'attaque. Puis, dans la journée, l'armée allemande passa sur le no man's land et les soldats rentraient dans leurs tranchées. Robert et
François leur tiraient dessus et en abattirent plusieurs d'entre eux. Les autres leur jetaient des grenades. Puis François et Robert
sortirent leur tête pour voir s'il y avait quelqu'un sur le champs,
mais, soudain, un coup de feu toucha Robert, ce dernier tomba à sol,
François baissa aussitôt sa tête. Sa tenu bleu-horizon était
tachée de sang. Il pris la plaque d'identité de Robert en pleurant. Il lui prit aussi ses vivres, son fusil
et le briquet qu'il avait fabriqué, en espérant le donner à sa femme à la fin de la guerre. Il faillit battre en retraite car les soldats
allemands étaient en train de les vaincre. Alors, François et son unité se mirent à marcher de longs jours. François mourait de
faim, et les autres aussi. Robert lui manquait terriblement. Un
jour plus tard, ils arrivèrent dans un champ où le colonel leur
proposa de creuser la nouvelle tranchée. Mais un soldat, qui en avait assez de creuser des tranchées surtout pour battre
retraite les jours suivants, ne voulait plus creuser. Le colonel en eut
assez lui aussi et l'arrêta. Dans la journée, il l'envoya a
Paris, pour qu'il soit abattu. Pendant ce temps, les soldats
recreusèrent une tranchée, remirent des sacs de sables. Trois jours
se sont écoulés et la tranchée fut enfin terminée. Les poilus avaient besoin de détente ils commencèrent à jouer aux cartes, fumer
la pipe, et François, lui, écrivait une lettre a sa famille, dessus
y est écrit :
Cher famille, je ne vous ai pas envoyé de lettres depuis un moment car nous avons fait retraite, et, hélas, Robert a été tué. Mais, de mon coté, heureusement, tout va bien. J espère que vous allez bien. Au revoir.
Plus
tard dans la journée, le colonel appela l'unité. Ils devaient
mettre des pattes de corbeau, et des hérissons sur le champs au cas
où les soldats allemands les retrouveraient. Ils mirent aussi des
barbelés, et chargeaient leur armes. Le lendemain, tout était calme
et cela devenaient lassant. Dans la soirée, François alluma sa
lanterne et sortit sa boite à couture. Il recousit son sac troué et
son pantalon qu'il avait déchirés dans les barbelés. Le jour qui
suivit, il reçu la lettre de sa famille, qui disait :
Cher François, J'espère que tout va bien, nous avons entendu que les Allemands allaient signer une armistice. Continue de te battre cette guerre sera bientôt fini.
Nous t'aimons fort et prions Dieu chaque jour.
François
et les hommes de l'unité n'en revinrent pas: une armistice !
Personne
ne croyait à cette lettre, sauf François.
Le
jour d'après, les soldats allemands attaquèrent leur tranchée.
L'unité française essaya de faire une alliance mais ils leur
tirèrent dessus.
La
guerre faisaient rage, des soldats marchaient sur les pics, d'autres
mouraient dans les barbelés . Des canons tiraient à plein
régime et détruisaient le champ, puis, soudain, des bruit de moteur
retentissaient, et des avions survolaient le champ et lâchaient une
véritables pluie de fléchettes. Presque tout les soldats étaient
morts. Il ne restaient que François, le colonel Franck et un soldat
nommé Frédéric. Toute l'unité ennemie était morte. La pluie s'abattit sur le champ qui se transforma encore en champs de boue. Ils allèrent s'abriter dans leur tranchée.
Le lendemain, le 11 novembre, l'église du petit village de Chambourg
sonnait. Ils allèrent dans le village où tous les villageois
s'étaient rassemblés. Ils leur demandèrent ce qui se passa et il
leur répondirent: L'armistice a été signée, c'est la fin de la
guerre !
Dans
les semaines qui suivirent, François rentra dans son village où sa
famille accueillit avec bonheur et soulagement. François leur donna les petits objets qu'il
avait fabriqué à base d'obus et de balles. Puis il alla porter ses
condoléances à la famille de Robert. Il donna à sa femme le briquet qu'il lui avait fabriqué.
François
fut heureux que cette guerre, qui avait durée 1561 jours et avait fait des
millions de morts, se termine enfin.
par Lucas DIAZ, 5°
Très belle histoire, parfaitement documentée au niveau historique et bien rédigée. Bravo à Lucas!
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